Anne-Marie Cocula-Vaillières Historienne, ex-présidente de l’université Michel de Montaigne - Bordeaux III - Agrandir l'image, fenêtre modale

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Résistances

Conférence - 1945 en France, le retour des prisonniers…

80 ans déjà ! Il faut qu’ils soient mieux connus tant ils ont été nombreux, tant ils ont souffert, tardant à susciter des vocations d’historiennes et d’historiens même s’il existe des ouvrages qui leur sont consacrés, mais moins nombreux et marquants — on le comprend aisément— que ceux qui sont consacrés aux camps de concentration et aux usines de mort des nazis.

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Conférence d’Anne Marie Cocula-Vaillières au CDMR (date non définitive)

Par rapport aux déportés, revenus si peu nombreux, et aux millions de Juifs anéantis, les prisonniers de guerre n’étaient pas des victimes destinées  à «  disparaître » . Ils bénéficiaient dun statut destiné à les protéger et du respect de la hiérarchie militaire qui distingue simples soldats et officiers et leur assigne des camps et des tâches différentes.

Partant dun exemple familial, éclairé par une dense correspondance de cinq années de captivité, cette conférence sefforcera didentifier des parcours et conditions de vie de 1.500.000 Français, retenus en captivité durant la Seconde Guerre mondiale.